mercredi 21 décembre 2011

Les arnaques sur Facebook



Fausses vidéos racoleuses, applications pour savoir "qui consulte votre profil"... Dans cet article, nous allons faire un tour d’horizon sur les nouvelles arnaques sociales.
Facebook et les réseaux sociaux sont devenus un nouveau vecteur des arnaques sur internet. Un vecteur prisé pour l'arnaque financière, le trafic véreux, le piratage de compte, la diffusion de logiciels espions et malware, etc.
L'éditeur d'antivirus Bitdefender a publié un "livre blanc" sur les différentes "e-menaces" afin de sensibiliser les internautes. Les attaques reprennent le plus souvent les mécanismes viraux pré-existants, basés sur la curiosité et la naïveté des utilisateurs.



Le pirate à la recherche de données personnelles dispose de plusieurs voies d'attaque, la plupart tournant autour de vidéos. La technique privilégiée : le "like jacking", c'est-à-dire le détournement du bouton "J'aime".






Cela se matérialise par des vidéos racoleuses qui apparaissent dans le fil d'actualité. Il suffit de cliquer dessus pour qu'elle se rediffuse automatiquement sur votre mur, puisqu'un bouton "J'aime" est dissimulé. Sachant qu'un utilisateur de Facebook a en moyenne 130 amis, une telle arnaque se diffuse de manière exponentielle.
Des vidéos racoleuses, d'autant plus qu'elles sont plus que jamais ancrées dans l'actualité avec, quelques heures après l'évènement, "la mort d'Amy Winehouse", "l'arrestation de DSK" ou "la mort de Kadhafi".

Une arnaque simple à mettre en place et qui rapporte aisément du trafic (et donc de rémunération publicitaire) à des sites éphémères. Dans son livre blanc, Bitdefender estime que le "like jacking" rapporte 20 à 200.000 euros par jour en recettes publicitaires.
L'arnaque prend une autre dimension quand la lecture de la vidéo requiert l'installation d'un logiciel (espion) qui permettra d'infecter l'ordinateur cible.




Un autre type d'arnaque vise à récupérer massivement des informations personnelles via des applications malveillantes. Cela s'est concrétisé en début d'année par le célèbre "découvre qui regarde ton profil". Une arnaque sociale largement diffusée sur les murs des internautes. La dernière vague a totalisé plus d'un million de clics en moins de 24 heures !.

Il est bon de savoir que Facebook ne permettra jamais de savoir qui consulte votre profil.
Le risque final est d'abord de voir son profil détourné, puis de subir un vol de données personnelles (e-mail, mot de passe, nom, adresse, numéro de téléphone...), de voir son ordinateur infecté et espionné, ou encore son identité usurpée. En profilant les internautes, un pirate peut aisément se faire passer pour quelqu'un et demander de l'argent à l'un de ses amis en exploitant précisément leur relation.
Ces arnaques servent toujours à détourner de l'argent

Dans son livre blanc, Bitdefender propose aux utilisateurs de Facebook, une série de règles à respecter :
  1. Choisir un mot de passe compliqué (12 caractères avec majuscules et minuscules) et différent sur l'ensemble des réseaux sociaux. 
  2. Supprimer les cookies après déconnexion du réseau (via l'option "Effacer les données de navigation"), pour ne pas être pisté, même déconnecté. 
  3. Préférer une connexion sécurisée (avec le préfixe "https"). 
  4. Activer les notifications de connexion qui informent de toutes les connexions à votre compte Facebook. 
  5. Veiller aux informations que vous publiez sur Facebook.


Chiffres qui illustrent l’efficacité du bouton  




50 000 : Une semaine après son lancement, le bouton « J’aime » a été installé sur 50 000 sites Internet. Chiffre qui a doublé un mois après le lancement.
10 000 : Aujourd’hui, 10 000 nouveaux boutons sont installés chaque jour sur des sites.
2010 : Date de lancement du bouton lors de la conférence des développeurs de Facebook (en Avril 2010).
300 : Le bouton "J’aime" provoque une hausse de 50 à 300 % des visites provenant déjà de Facebook.
38 : Le réseau représente 38 % du trafic référant sur internet, ce qui en fait la première source mondiale !
34 : L’âge moyen des utilisateurs qui cliquent sur les boutons « J’aime » sur des nouveaux sites.
25 : Le bouton "J’aime" avec compteur et photo des utilisateurs engendre 25 % de clics en plus comparé à sa forme classique.
20 : Un contenu recommandé par un utilisateur génère 20 visites de la part de ses amis sur Facebook.
2,5 : Le bouton "J’aime" est présent sur plus de 2,5 millions de sites Internet dans le monde.


Sources :







vendredi 9 décembre 2011

Le covoiturage, très tendance en Tunisie

Source : http://www.tekiano.com


Saviez-vous que chaque véhicule produit chaque année à lui tout seul plus de deux tonnes de CO2 ? Une menace à prendre très au sérieux qui risque à long terme, d'engendrer des conséquences désastreuses pour l'environnement. La solution ? Le covoiturage qui commence petit à petit à pointer le bout de son nez en Tunisie...

Comment réduire ses dépenses liées au transport tout en préservant l'environnement ? En utilisant les moyens de transport ? Une solution valable pour certains, sauf qu'une petite poignée d'internautes a déjà commencé à explorer une autre solution : le covoiturage. Cette nouvelle tendance, pourtant initiée depuis 2008 en Tunisie (avec le lancement du site web twassalni), semble attirer dernièrement, de plus en plus d'utilisateurs qui y ont vraisemblablement trouvé leur compte. Plusieurs portails (spécialisés et d'autres plus généralistes), proposent ce genre de service et pourrait à long terme, résoudre des problèmes, liés notamment à la pollution et à l'engorgement du réseau routier pendant les heures de pointes.



"En covoiturant, on est tous gagnants" tel est le credo du site web tunisiecovoiturage.com lancé dernièrement sur la toile. Proposant une fonction de recherche avancée (gouvernorat, ville, recherche de passagers, recherche de voitures, ...). Il met également à disposition des internautes une carte détaillée des trajets effectués à travers toute la Tunisie avec le prix exact qu’il en coûtera. Après inscription, vous pourrez soit déposer une annonce en spécifiant le trajet emprunté avec la ville de départ et celle d'arrivée, soit consulter les dernières propositions des membres du site. Par la suite, un contact téléphonique s'effectuera entre les deux protagonistes.

Un peu plus ancien cette fois, le portail covoituragetunisie.com ne déroge pas à la règle en proposant (d'une façon un peu plus sobre) sur sa page d'accueil un tableau incluant les trajets, la date et l'heure d'expiration, le prix et le nombre de places disponibles par véhicule. Simple, clair et sans fioritures.

On peut également citer le site web généraliste OLX ou encore Tunisieannonces qui proposent chacun de leur coté, ce type de service en lui consacrant une rubrique entière.

Joindre l'utile à l'agréable, tels sont les principaux attrait du covoiturage. Outre les relations humaines qu'il créé entre les voyageurs, ce nouveau moyen de déplacement écologique permettra à ces derniers d'économiser le prix des moyens de transport conventionnels et d'autre part, de réduire les frais de carburant pour les possesseurs de véhicules.

Sans oublier les effets bénéfiques que ce dispositif peut avoir sur l'environnement, menacé dangereusement par les gaz à effet de serre (résultats de la destruction partielle de la couche d'ozone). Rien que pour avoir une petite idée, selon l'agence française de l'environnement et de la maitrise de l'énergie, chaque véhicule produit en moyenne à lui tout seul (pour un kilométrage de 15000km/an), 152g de C02 par km et 2280kg CO2/an ! Soit plus de deux tonnes chaque année !

Pour en savoir plus :

http://www.tunisiecovoiturage.com/
http://www.olxtunisie.com/covoiturage-cat-248
http://www.annoncetunisie.org/annonce/covoiturage-cat394/
http://www2.ademe.fr/servlet/KBaseShow?sort=-1&cid=96&m=3&catid=22274

mardi 6 décembre 2011

Des nouveautés dans l'usage de domaine de l'Internet de premier niveau

Source : AfricanManager 6-12-2011 par Nadia Ben Tamansourt

Une journée sur les domaines Internet de premier niveau a été organisée, mardi, à Tunis, par la Fédération méditerranéenne des associations de l’Internet avec le concours de l’Instance nationale des télécommunications. Tijani Ben Jemaa, membre de l'ALAC, ICANN, a rappelé que l'échange d'informations est un volet important du développement international. Cet échange devient encore plus important au fur et à mesure que le monde progresse vers une économie fondée sur l'information dont l’accès permet aux organisations de prendre connaissance de nouvelles idées, L'Internet est un nouvel outil efficace permettant de communiquer avec les autres et d'extraire et de diffuser des informations, un des nombreux instruments que les organisations des secteurs public et privé utilisent actuellement dans leur travail quotidien.

Selon Sébastien Bachollet, membre du conseil d'administration de l'ICANNA, le programme "ICANN" ou, Internet Corporation for Assigned Names and Numbers est de permettre aux organisations de planification au niveau mondial de demander le droit d'exploiter un registre des nouveaux gTLD de leur choix et de le présenter à pour une utilisation sur le world wide web. Ils attendent entre 300 et 1000 nouveaux gTLD applications.

Il ya déjà 100 groupes qui ont exprimé leur intention d‘en faire la demande, et il ya probablement des centaines d'autres avec des plans à appliquer, mais restent en mode furtif.

En effet, le gTLD n'est pas un nom de domaine. Il s'agit d'un espace de noms comme Com. Net, Org et. DE, un gTLD est une pièce essentielle de l'infrastructure internet. Il n'est pas destiné à des personnes ou des utilisateurs occasionnels. Un registre gTLD devrait être une entreprise fonctionnant selon des techniques d'exploitation d'une manière qui prend en charge la sécurité et la stabilité du World Wide Web.

L'ICANN prévoit des candidatures aux nouveaux gTLD au nombre de 300 à 1000. Cette augmentation spectaculaire du nombre de gTLD aura de lourdes conséquences. Chaque utilisateur d'Internet sera touché, des petites entreprises aux grandes, a-t-il précisé.

Intervenant à son tour, Abdelatif Hamam , directeur général de CEPEX , a précisé que l'internet est devenu un élément incontournable de la vie des entreprises. Les technologies de l’information et de la communication représentent un enjeu économique majeur.

Les technologies de l’information et de la communication peuvent permettre aux entreprises de mieux satisfaire leurs clients, de travailler plus vite et efficacement et de conquérir de nouveaux marchés,a-t-il affirmé.

Il est à signaler que cette journée a été organisée à l’effet de permettre d'apprécier l'avantage de la mise en œuvre de la réforme réglementaire et opérationnelle de l'espace de nommage".tn", l’objectif de cette réforme est d’augmenter le nombre d'enregistrements considéré comme un levier pour le développement de contenus tunisiens.

Il s'agit de favoriser une meilleure offre de services, à travers une concurrence accrue entre les bureaux d'enregistrement, tout en garantissant plus de facilité d'accès à l'enregistrement des noms de domaines sous le domaine de pays" Tunisie" de premier niveau.

vendredi 19 août 2011

Hexabyte entre en bourse

source : http://www.jeuneafrique.com
Le quatrième fournisseur d’accès à internet de Tunisie entre en Bourse. Objectif pour Naceur Hidoussi, le fondateur de HexaByte : enrichir son offre avec des services 3G.
Après l’accord donné par la Bourse de Tunis, HexaByte, quatrième fournisseur d’accès à internet (FAI) tunisien, peut envisager sereinement son entrée sur le marché. Reste encore quelques détails à régler, comme le prix de chaque action : entre 5 et 6 dinars (2,50 et 3 euros). À l’issue de l’opération, son PDG, Naceur Hidoussi, 37 ans, aura cédé 40 % du capital : 24 % ont déjà été attribués à des fonds d’investissement pour un montant de 3 millions de dinars, tandis que 16 % seront proposés aux particuliers, pas avant le mois de septembre.
Pour Naceur Hidoussi, qui a fondé HexaByte en 2001 à son retour des États-Unis, l’introduction en Bourse répond à un double objectif. À court terme, le jeune patron entend profiter de l’augmentation de capital pour financer le développement de ses magasins. Douze HexaByte Stores sont déjà ouverts, et deux autres le seront en août. Dans ces espaces de vente, les clients peuvent acheter un abonnement à internet, mais aussi des tablettes numériques, des caméras… Des tentations d’autant plus grandes que HexaByte propose aussi des crédits à la consommation, grâce à des partenariats avec Amen Bank, Attijari Bank et Banque Zitouna. Le but de cette diversification : limiter la dépendance de la société à l’opérateur historique Tunisie Télécom, le seul qui soit pour l’heure habilité à vendre à HexaByte l’accès à internet destiné à ses 40 000 abonnés (8 % du marché des FAI).
La révolution a aussi décuplé les ambitions de Naceur Hidoussi : « Avant, le secteur était contrôlé par le pouvoir. Désormais on peut voir les choses en grand. » L’entrée en Bourse de HexaByte et la publicité qui l’accompagne peut ainsi se lire comme le moyen d’attirer l’attention de nouveaux investisseurs… avant d’initier une opération d’une tout autre ampleur. « Mon idée est de faire de HexaByte un opérateur internet, de téléphonie fixe et mobile, explique Naceur Hidoussi. Si possible en possédant une licence nous donnant directement accès au réseau fixe et en nouant en parallèle un partenariat avec un opérateur mobile pour fournir des services 3G. » Un projet qui pourrait séduire Tunisiana, seul opérateur mobile à ne pas encore posséder de FAI.

vendredi 6 mai 2011

Dix astuces pour améliorer vos recherches sur Google

Le célèbre moteur est devenu un outil précieux pour tous les cadres. Mais savent-ils exploiter au mieux sa formidable puissance ? Conseils pour accéder rapidement aux informations les plus pertinentes.

Huit internautes sur dix utilisent aujourd’hui Google. Pour faire de leur moteur de recherche le leader incontesté du Web, Larry Page et Sergey Brin n’ont cessé de multiplier les innovations. La dernière en date ? Une application pour iPhone (téléchargeable gratuitement sur l’App Store), qui permet de lancer sa recherche vocalement. Mais Google doit avant tout son succès à sa puissance. Et celle-ci, justement, peut jouer des tours à l’utilisateur non averti, qui se trouve vite noyé sous un déluge de résultats. C’est seulement en apprenant à affiner ses recherches qu’il exploitera pleinement le potentiel de cette «grosse cylindrée» du Web.
Tapez au moins trois mots-clés
Google autorise l’emploi simultané de 32 mots-clés. Plus vous en utilisez, plus les résultats correspondront à vos attentes. En taper au moins trois suffit pour éliminer un grand nombre de résultats inutiles. N’oubliez pas que l’ordre dans lequel ces mots-clés sont saisis a une incidence sur les résultats. Et pour éviter de ralentir la recherche, excluez les mots tels que «le, et, de…», ainsi que les lettres ou les chiffres seuls.
Servez-vous des caractères spéciaux
Une série de symboles tapés devant les mots-clés aident à préciser les demandes. Vous cherchez une expression complète, un nom propre, une citation ? Usez des guillemets. Si vous avez oublié un terme de la phrase, remplacez-le par un astérisque («travailler plus pour plus»). En ajoutant + devant un mot (sans espace), vous obtiendrez des réponses qui le contiennent obligatoirement. Ainsi, si vous recherchez un poste de chef de projet marketing dans le secteur ­automobile, tapez : «chef de projet marketing» + automobile. En revanche, pour exclure un mot des résultats, placez devant lui un signe – (sans espace). Si vous voulez obtenir un ordre de prix, insérez deux points sans espace entre les valeurs extrêmes de la fourchette souhaitée. Exemple : rétroprojecteur 100 €..150 €. Une astuce valable aussi pour les dates, les poids, etc. On retrouve toutes ces fonctions dans l’option «Recherche ­avancée», mais vous gagnerez du temps en les utilisant directement.
Elargissez la recherche aux synonymes
Vous hésitez sur le mot-clé à employer ? Tapez ~ (ctrl+alt+2 sur PC) devant un terme et Google élargira la recherche aux synonymes. Si vous êtes en quête d’un prestataire pour protéger votre réseau informatique, écrivez : société service protection informatique. Au lieu de répertorier seulement les intitulés contenant «sociétés service» et/ou «protection informatique», le moteur affichera aussi les entreprises spécialisées en maintenance de systèmes, protection des données, veille contre le piratage, etc. Si vous hésitez ­entre plusieurs termes, insérez le symbole «|» (ctrl+alt+6 sur PC) entre les mots (sans espace) : Google effectuera indifféremment la recherche sur l’un et l’autre des termes (par exemple : «consommation ménages» France baisse|chute|diminution).

Ciblez un format de fichier précis
Il est possible de spécifier un format de document (Word, Acrobat, PowerPoint…). Idéal quand on recherche des rapports produits par des organismes ou des sociétés, mais mal mis en avant sur leur site Web, ou des infos sur un ­partenaire. Pour cela, tapez filetype: et l’extension (sans point et sans espace) de l’application souhaitée (doc, pdf, ppt…).
Délimitez les résultats dans le temps
Dans l’option «Recherche avancée», on peut choisir de limiter les réponses aux informations publiées au cours des dernières vingt-quatre heures, de la semaine, du mois ou de l’année écoulés. Pour trouver des articles sur les conséquences de la prime à la casse (pour les véhicules de plus de dix ans), tapez «prime à la casse» et sélectionnez «31 derniers jours» dans le menu déroulant «Date». Mais si vous voulez des données sur le dispositif lui-même, choisissez «365 derniers jours» (la mesure date de janvier dernier). Dans l’onglet «Actualités» de la page d’accueil de Google (en haut à gauche), il est même possible de limiter la recherche aux articles parus entre deux dates du mois précédent ou à ceux publiés «depuis une heure».
Gagnez en précision grâce au clic magique
Si, parmi les résultats proposés, certains vous semblent plus pertinents, cliquez sur la mention «Pages similaires», qui figure en bleu à la fin de la réponse qui vous intéresse. Google vous adresse alors la liste des sites associés. Plus besoin de passer de longues minutes à analyser l’ensemble des pages de résultats. De même, si vous voulez visiter le site d’une société ou d’une institution, cliquez sur «J’ai de la chance» après avoir tapé son nom dans le champ de recherche. Vous serez directement connecté à sa page Web sans passer par les résultats.
Activez les filtres pour éviter les surprises
Vous êtes en quête de petites annonces (pour trouver un nouveau fournisseur), d’infos ayant trait à des rencontres (professionnelles ou amicales) ou à des introductions (en Bourse) ? Afin d’éliminer les sites pour adultes de la liste des réponses, activez Safe Search dans «Préférences» en définissant un degré de filtrage («strict» pour bannir images et textes à caractère sexuel ou «modéré» pour exclure seulement les premières). Parfait pour une démo client.
Sollicitez l’aide du traducteur
Google permet de traduire en français des sites étrangers. Dans la page de démarrage, déroulez le menu «Plus» (en haut à gauche) et choisissez «Traduction». Dans la fenêtre qui s’ouvre, tapez une adresse – par exemple, celle du site corporate américain de Coca-Cola. Sélectionnez ensuite la langue originale (l’anglais) et celle dans laquelle la traduction doit être effectuée (le français). On constate des approximations (Muhtar Kent, le CEO de la firme d’Atlanta, devient ainsi «chef de la direction»), mais, dans l’ensemble, le traducteur donne une idée correcte du contenu et des rubriques. Cette fonction est aussi utile pour traduire des documents et peut servir de dictionnaire pour des mots ou des expressions.
Cherchez sur un site en particulier
Pour savoir ce qu’une source en particulier (une revue, une entreprise ou un organisme) a publié sur tel ou tel sujet, vous gagnerez un temps précieux en limitant la requête à son site. Pour cela, tapez site: et son nom de domaine. Ainsi, pour savoir ce que le magazine «Capital» a écrit sur la crise des subprimes, l’intitulé de votre recherche sera : + crise + subprimes site:capital.fr. Vous pouvez même indiquer, en allant dans ­«Recherche avancée», l’endroit où vos termes de recherche apparaissent (n’importe où dans la page, dans le titre, dans l’adresse URL…).
Employez les moteurs spécialisés
En haut à gauche de la page d’accueil figurent (en bleu et soulignés) les moteurs spécialisés de Google. La rubrique «Actualités» permet de limiter la recherche aux sites d’information, «Images» aux photos, et ainsi de suite. L’outil «Maps» peut servir d’annuaire pour trouver les coordonnées de prestataires. Enfin, la rubrique «Livres» donne accès à une véritable bibliothèque virtuelle. Tapez un sujet dans le champ de recherche et vous obtenez la liste de tous les ouvrages s’y rapportant. Certains sont mêmes consultables en ligne. Idéal pour préparer un séminaire ou une conférence.

vendredi 29 avril 2011

Nouveaux modèles et lancements en France de tablettes tactiles

Source : http://www.commentcamarche.net

Alors que le marché est actuellement dominé par Apple avec son iPadSony (85% de parts de marché en volume pour l'année 2010 selon le cabinet d'études ABI Research), Toshiba, Lenovo et Dell viennent de dévoiler leurs nouveaux projets pour les tablettes tactiles.
Asus, RIM, Motorola et Acer se lancent à la conquête du marché français.

Toshiba a dévoilé la Regza AT300, une tablette Android 3.0 dotée d'un écran 10,1 pouces, d'un processeur Tegra 2 double coeur à 1 Ghz, d'une capacité de stockage de 16 Go, d'un capteur photo de 5 Mpixels au dos de l'appareil et d'une caméra 2 Mpixels en façade. Compatible 3G / WiFi et Bluetooth 2.1. L'appareil est équipé d'un port Micro USB, d'une sortie HDMI et d'un emplacement pour cartes SD. La résolution de l'écran sera de 1280 x 800 pixels. Le poids annoncé est de 765 grammes pour une épaisseur de 1,6 cm. Le produit est attendu pour le mois de juin pour un prix proche des 500 euros.

Lenovo, axé pour les professionnels, sortira cet été une tablette sous Android 3.0 qui pourra être convertie en PC portable grâce à une station d'accueil munie d'un clavier. Equipée d'un écran 10,1 pouces, la tablette embarque un processeur Tegra 2 de Nvidia, deux caméras (une avant, une au dos de l'appareil) et une mémoire interne de 16 à 64 Go. Elle pourra être utilisée au stylet. Le prix est attendu autour des 499 dollars.

Sony va essayer plusieurs produits différents. La tablette S1 propose un nouveau format d'écran, le 9,4 pouces, la S2 en étant pliable à la manière d'une Nintendo DS, embarque deux écrans de 5,5 pouces. Ces talettes seront équipées du processeur Nvidia Tegra 2, et seront compatibles avec la première génération de jeux Playstation. En dehors de ces modèles, Sony a montré le Freestyle Hybrid PC, un écran de 9,4 pouces qui dispose d'un clavier coulissant, à la manière d'un Eee Pad Slider. Cette machine serait équipée d'un processeur Intel Atom et de Windows 7. Le prix grimpe à 799 dollars.

Dell lancera, selon le site Android Central, deux tablettes pour les professionnels. L'originalité vient des composants, à savoir des processeurs Intel. La Latitude ST possède une puce Intel Oak Trail à 1,5 Ghz, 2 Go de mémoire vive, et un écran 10 pouces de 1366 x 768 pixels. La Latitude XT-3 serait plus proche de l'ordinateur portable : format 13 pouces, processeur Intel Core i3 au Core i7 à économie d'énergie (low voltage). Les deux tablettes seraient équipées de Windows 7. On ne connait pas encore les tarifs.

Les modèles désormais disponibles en France

Actuellement les nouvelles tablettes présentées en début d'année fleurissent désormais dans les boutiques. On trouve déjà l'Acer Iconia Tab A500, l'Acer Iconia Tab A100, l'Asus eeePad Transformer, l'eeePad Slate, la HTC Flyer, la Motorola Xoom, l'Hannspree Hannspad, et l'Archos Arnova en France.Le public est partagé entre les smartphones haut de gamme à 500 euros, et les PC portables aux mêmes prix.

lundi 4 avril 2011

Suisse: Google obligé de flouter les visages et plaques d'immatriculation - tsr.ch - info - sciences-tech. - technologies


Un tribunal suisse a annoncé lundi que Google avait l'obligation de flouter les visages et les plaques d'immatriculation des véhicules photographiés pour son service internet Street View.

Dans un arrêt daté de mercredi, le tribunal administratif fédéral (TAF) a estimé que le groupe internet américain devait "veiller à ce que tous les visages et plaques de contrôle soient rendus méconnaissables avant la publication des images sur internet".

"Chacun a le droit à sa propre image" et "en principe, il est interdit de photographier quiconque sans son approbation", a rappelé le tribunal, selon lequel Google doit aussi veiller à "garantir" l'anonymat des personnes photographiées devant des "installations sensibles".

Cette décision du TAF, qui peut être contestée devant le tribunal fédéral dans un ultime recours, ne visait aucunement à "interdire entièrement Google Street View, mais simplement de ne publier sur internet que des images rendues méconnaissables ou de ne pouvoir en disposer sans avoir obtenu l'assentiment des personnes concernées", a précisé le tribunal.

Peter Fleischer, chargé des questions de confidentialité chez Google, a indiqué que le géant américain allait "étudier les motifs du jugement et examiner ses implications pour Street View en Suisse et les possibilités de faire appel".

"Nous sommes naturellement très déçus par cette décision", a-t-il souligné dans un communiqué, ajoutant que Street View avait "prouvé son utilité pour des millions de Suisses ainsi que pour des entreprises et des organisations touristiques".

Lancé en 2007, Google Street View fournit des vues panoramiques en trois dimensions de rues, permettant aux usagers de s'y déplacer virtuellement, mais ce service a déclenché une série de polémiques dans plusieurs pays.

En mai 2010, Google avait reconnu que les voitures ("Google cars") parcourant pour son compte les rues pour prendre des photos avaient collecté par inadvertance des données personnelles transmises par Wi-Fi dans la rue.

En France, la Commission nationale de l'informatique et des libertés (Cnil) a annoncé le 21 mars avoir infligé une amende de 100.000 euros à Google pour avoir collecté des données privées à travers son programme controversé Street View.

Source : http://www.tsr.ch/info/sciences-tech/technologies/3060005-suisse-google-oblige-de-flouter-les-visages-et-plaques-d-immatriculation.html

samedi 2 avril 2011

Recycler nos déchets de repas de midi en bureau

Pourquoi ne pas mobiliser et inciter nos entreprises et administrations à une démarche écologique de gestion des déchets pour le développement durable avec la mise en place d’un tri sélectif en interne ?

Comme beaucoup de personnes, je mange au bureau à midi. Des détritus organiques facilement biodégradables (épluchures, fruits et légumes abimés, coquilles d’œufs, marc de café…) sont par la suite jetés dans nos poubelles. L'idée la plus intelligente serait de les trier à part pour les mettre dans un composteur pour les éliminer tout naturellement.

Ainsi cette initiative nous permettra de « changer de comportement » et responsabilisera nos entreprises à réaliser un premier pas vers le développement durable en triant mieux leurs ordures.

Qu'est ce que le compost ?

C'est un mélange de matières organiques et végétales utilisé comme engrais.
La fabrication du compost (le compostage) permet de réduire le volume de sa poubelle et de produire, à partir de déchets organiques (reste de cuisine, taille de végétaux) un humus de qualité nécessaire au bon développement des plantes (que cela soit les plantes vertes ou celles du jardin et du potager).
L'humus disparait chaque année à hauteur de 2 à 3%, en se minéralisant pour apporter les éléments indispensables au développement des plantes. En incorporant du compost à la terre, le jardinier compense cette perte, améliore la fertilité du sol et limite le volume de déchets à traiter.

jeudi 31 mars 2011

Est-ce que votre mot de passe est bien choisi ?



 
http://howsecureismypassword.net/


Si vous pensez encore être le seul à utiliser "password" comme mot de passe, l'infographie qui suit va vous prouver le contraire.
En effet, cette infographie, qui nous informe que 79 % des utilisateurs choisissent des mots de passe risqués (comme des informations personnelles ou des noms communs), nous apprend aussi que 4 % des utilisateurs utilisent une variante du mot « password » en guise de mot de passe.
On notera que le mot de passe « password » peut être trouvé dans un laps de temps de quelques secondes.
Le site en question "How secure is my password" (combien mon mot de passe est sécurisé), permet de savoir en combien de secondes son mot de passe peut être piraté.

Robert Wilhelm Bunsen

En ouvrant ma page Google aujourd'hui, un joli dessin d'éprouvettes et d'instruments de chimie ont poussé ma curiosité pour cliquer dessus. Il s'agit d'une commémoration de l'anniversaire de Robert Wilhelm Bunsen, chimiste allemand, né le 31 mars 1811 à Göttingen et mort le 16 août 1899 à Heidelberg.

Bonne occasion pour moi de découvrir le personnage. Le premier lien que propose Google est celui de wikipedia. http://fr.wikipedia.org/wiki/Robert_Wilhelm_Bunsen

On y découvre ainsi que Robert Wilhelm Bunsen est connu pour ses travaux en spectroscopie et, bien qu'il n'ait pas directement contribué à l'amélioration de cette invention, pour avoir donné son nom au bec Bunsen.

En 1834, alors professeur à Göttingen, il étudie les sels métalliques arsénieux, ce qui lui donne l'occasion de sa première découverte : l'oxyde de fer hydraté, qui est un antidote encore utilisé contre l'empoisonnement à l’arsenic.

Il étudie en profondeur les dérivés du cacodyl (CH3)2As—As(CH3)2, des composés organo-métalliques à la fois très inflammables, d'une odeur épouvantable, et mortels. L'une de ses expériences se termine par une forte explosion et il y perd un œil. Il manque même de s'empoisonner à l'arsenic.

Bunsen s’intéresse aux hauts-fourneaux, dont il cherche à optimiser le rendement par recyclage des gaz et valorisation de sous-produits.

En 1841, il perfectionne la pile de Grove en remplaçant l’électrode en platine par une électrode en carbone. Cette pile qui porte son nom sera à nouveau perfectionnée par Georges Leclanché.

En 1852, à l'Université d'Heidelberg, il se concentre sur l'amélioration des piles, ce qui lui permet de préparer par électrolyse plusieurs métaux : aluminium, baryum, calcium, chrome, lithium, magnésium, manganèse, sodium.

Il invente et met au point un calorimètre à glace avec lequel il peut déterminer la chaleur spécifique de ces métaux et donc leur masse atomique.

Lors de l'éruption du Mont Hekla, en Islande, il effectue un voyage et en tire une analyse du fonctionnement des geysers dont il fabrique un modèle dans son laboratoire afin de convaincre ses contemporains, persuadés pour beaucoup que leur eau venait du centre de la Terre.

À partir de 1860, il travaille sur la spectroscopie avec Gustav Kirchhoff, qui introduisit l'utilisation du prisme pour étaler le spectre, et participe à la mise au point de ce que nous nommons aujourd'hui le bec Bunsen. Ils identifient ainsi le césium et le rubidium. Leur démarche de spectroscopie ouvre la voie à la découverte de cinq autres éléments : le thallium, l’indium, le gallium, le scandium et le germanium. Enfin, l’hélium est découvert dans le spectre du Soleil par Jules Janssen et Joseph Norman Lockyer en 1868.

Il prend sa retraite en 1889 et meurt dix ans plus tard à Heidelberg.
Bec Bunsen

mercredi 30 mars 2011

Manhattan 4.33pm

Daydreams est une série de courts-métrages de 30 secondes réalisée par Lizzie Oxby, dont l’objectif est de mettre en image des pensées qui lui viennent au gré d’observations.


mardi 29 mars 2011

Google sait-il quels sites on visite ?


Oui, et il conserve nos traces plus longtemps que ses concurrents. Si Google s’accroche tant à cet archivage, c’est aussi pour une question d’énormes revenus
: depuis un an, il adapte ses liens commerciaux aux requêtes des internautes. Vous cherchez souvent des sites de jardinage? Google vous aiguillera vers des vendeurs de désherbants. Un moyen d’augmenter le nombre de clics sur ces liens, et donc le prix facturé aux annonceurs. Cette fonction peut être désactivée. Mais bien rares sont les utilisateurs qui savent comment procéder. Dans ses serveurs dont il refuse d’indiquer la localisation géographique, le mastodonte du Web archive pendant neuf mois toutes les requêtes tapées par les internautes.

Conseils et témoignages : Etre plus efficace, plus créatif


1 Zapper, cela nuit gravement à votre concentration
Boucler son rapport en répondant à ses e-mails, tout en parlant au téléphone : un jeu d’enfant pour la génération zapping ? Faux, répondent les scientifiques. l’Institut National français de la Santé et de la Recherche Médicale a démontré que la multiplication des activités diminue les performances du cerveau. Dans l’expérience, les sujets doivent remettre dans l’ordre les lettres de mots écrits en minuscules. S’ils se consacrent uniquement à cette tâche, les deux lobes frontaux du cerveau coopèrent. Mais lorsque les mots apparaissent alternativement en minuscules puis en majuscules, le temps de réaction du cerveau augmente d’un dixième de seconde et le taux d’erreur de 2 à 3%. L’introduction d’une troisième complication fait grimper le taux d’erreur à 25%.

2- Établissez vos “to do” (à faire) listes selon les règles de l’art
Sur une feuille de papier, tracez deux grands traits pour former une croix. L’axe vertical représente l’importance, la ligne horizontale l’urgence. Répartissez alors vos activités dans les quatre cases : important/urgent, important/peu urgent, peu important/urgent, peu important/peu urgent. "Fixez-vous ensuite des objectifs à remplir, avec des horaires de début et de fin pour éviter d’avoir une journée à rallonge", recommande Charline Licette, auteur de "Apprendre à gérer son temps" (éditions Studyrama). Dernière astuce : groupez toutes les petites tâches en un seul bloc.

3 Ne prononcez plus jamais
"On a toujours fait comme ça"
"Ça m'étonnerait!"
"Ça ne marchera jamais!"

4 Adoptez et réussissez à tous les coups les séances de brainstorming
Élément incontournable des techniques de créativité, le brainstorming (littéralement «tempête des cerveaux») fut inventé en 1938 par un publicitaire américain. Selon Guy Aznar, président de l’Association française pour le développement de la créativité, pour qu’un brainstorming soit efficace, les participants doivent suivre quatre règles de base:
1. s’abstenir de critiquer ou de saluer les idées au fil
de la séance;
2. laisser libre cours à l’imagination la plus débridée;
3. produire rapidement un maximum d’idées;
4. associer librement les idées des uns et des autres
.

5 Permutez un jour ou deux avec un collègue
Nous sommes souvent incapables d’expliquer ce que fait la personne qui travaille à côté de nous. Pourquoi ne pas prendre sa place le temps d’une journée ? Sur le modèle de l’émission "Vis ma vie" sur TF1, les laboratoires pharmaceutiques Abbott ont instauré des échanges de postes depuis plusieurs années. Une centaine de salariés ont déjà tenté l’expérience. Françoise Poterre, directrice de la communication, se souvient d’un commercial qui pestait parce qu’on lui refusait certaines notes de frais mal remplies. "Après deux jours dans la peau d’un comptable, il a compris les contraintes du métier. La comptable a vécu ensuite une journée de terrain à la rencontre des médecins et s’est rendue compte qu’un commercial avait peu de temps pour gérer l’administratif. "Même initiative chez Konica Minolta", nos collaborateurs ayant suivi le programme, disent tous être aujourd’hui plus ouverts, travailler dans une meilleure entente avec les autres", affirme Julie Applincourt, directrice du recrutement.

GED - Gestion Electronique de Documents


Source : http://www.prestataires.com/dossiers/ged.asp


Qu'est-ce qu'un document électronique ?
C'est un objet informatique immatériel et manipulable avec un ordinateur. Il peut être une image, un fichier son, un ensemble de données organisées en fichier, un écrit électronique, etc. Un écrit électronique est tout équivalent d'un écrit papier dont la création est réalisée sur ordinateur. Il apparaît donc qu'un document électronique permet de séparer les caractéristiques d'un document classique, à savoir sa présentation (métadonnées), son contenu (informations), son architecture, offrant alors la possibilité d'une exploitation séparée.
 
La Gestion électronique des documents, abrégée en GED, est un système informatisé d'acquisition, classement, stockage, archivage des documents. Exemple d'utilisation : la numérisation de masse de documents papiers. La GED est un processus de finalité qui découle du cycle de vie du document.
Il existe 4 étapes majeures dans la gestion électronique des documents : l'acquisition, le classement, le stockage et la diffusion des documents. La GED permet un gain de temps et d'argent énorme pour les organisations. En effet, la GED permet l'indexation des documents et surtout la numérisation qui comprime le "volume papier".
Au sein d'une organisation, le choix de gérer ses documents ou pas peut relever d'une stratégie d'entreprise. En effet, même si la GED favorise le travail collaboratif, elle peut s'avérer être une perte financière énorme pour les petites, moyennes et grandes organisations qui ne l'envisageraient que sous l'angle "logiciel".
La GED est avant tout la mise en œuvre d'une méthodologie de travail (collaboratif).
C'est la mise en œuvre efficace de cette méthodologie qui est le garant du succès d'une solution de GED et non le produit "seul " qui ne sert que de "support" à cette "méthode". Pour être correctement appliqué et efficace, toute solution de GED nécessite que l'on consacre un budget "prestation d'accompagnement et de mise en œuvre" en rapport avec l'investissement "logiciel"...
Bien qu'encore peu connu de la plus grande majorité des entreprises, cet enjeu économique stratégique découle du coût de la composante dite "papier" dans une entreprise.


Acquisition des documents

La GED a pour objectif premier d'acquérir les documents, elle peut s'effectuer par :

•    L'intégration de documents papiers existants : les documents papiers sont numérisés grâce à des scanners. Ils peuvent être convertis, traités et triés.

•    L'intégration de documents électroniques existants : Documents bureautiques, pdf et images

•    La production de documents électroniques : Documents collaboratifs de plusieurs agents ou plusieurs Services.

•    L'échange de documents électronique : il s'effectue entre différentes entreprises.

Apprendre l’anglais sur Internet


Dans le cadre de notre travail, il nous arrive de rencontrer des documents qui couvrent différents secteurs de notre activité en langue anglaise.
Pourquoi ne pas parfaire ou carrément apprendre l’anglais gratuitement ?
Nous avons cherché ce qui s’offrait sur Internet et nous avons ainsi découvert un site fort sympathique :
Quatre vingt dix leçons sont ainsi offertes, elles sont progressives, interactives et sonorisées. Chaque leçon prend entre 5 à 10 minutes et nous pouvons les suivre à notre propre rythme. Nous avons testé plusieurs leçons jusqu’à la dernière et nous estimons qu’au final chacun pourra accéder, à raison d’une leçon par jour, au bout de trois mois, à un niveau d’apprentissage tout à fait correct de la langue anglaise.

Conseils d’utilisation d’un ordinateur



A force de les utiliser et de les voir fonctionner, nos Ordinateurs finissent par se fondre dans notre environnement de travail à tel point qu'on n'imagine même pas qu'ils puissent avoir de temps a autre besoin d'un quelconque nettoyage. Voici donc quelques points pratiques d'entretien.

·         Méfiez-vous de la poussière
Si vous possédez un boitier-tour, évitez de le poser à même le sol, sauf s'il est muni d'un pied prévu à cet effet. Posé à terre, Il est davantage susceptible de recevoir poussière et chocs et se trouve soumis à l'électricité statique de votre moquette. Le cas échéant, placez-le sur un socle que l'on trouve dans le commerce ou sur une petite tablette basse. N'hésitez pas à nettoyer régulièrement votre machine histoire de la dépoussiérer. La poussière a pour effet d'encrasser les grilles d'aération et votre ordinateur chauffe plus que de normal.

·         Eteignez votre ordinateur régulièrement
Il est vrai qu'il n'est pas bon d'éteindre et d'allumer votre ordinateur constamment. Mais vous pouvez l'éteindre sans crainte le soir ou au moins en fin de semaine, d'autant plus s'il est équipé de multiples cartes d'extension qui dégagent plus de chaleur. Le redémarrage de la machine permet en outre de se rendre compte plus rapidement d'un éventuel problème de configuration et de tester la configuration matérielle (séquence de boot)

·         Transport de l’ordinateur
Ne déplacez jamais votre ordinateur lorsqu'il est en marche (unité centrale) sous peine d'endommager votre disque dur.

·         Incrustation sur l’écran
Pour éviter d'incruster votre écran cathodique en cas d'image fixe affichée régulièrement, programmez un économiseur d'écran qui déclenchera une Image animée au bout d'un certain délai d'inactivité de l'écran (délai de 10 minutes conseillé).

·         La corbeille ne se vide pas toute seule !
Une évidence ? Pas pour certains. Lorsque vous envoyez vos fichiers à la Corbeille, ils ne disparaissent pas de votre disque dur. Les informaticiens sont prévoyants et pensent que vous pourriez avoir des regrets et vouloir récupérer votre fichier. Pour éliminer définitivement les fichiers indésirables, il s'agit donc de penser à vider la corbeille de temps en temps.

·         Programmes inutiles
Si un logiciel ne vous intéresse plus, pensez à le désinstaller de votre ordinateur. Pour les PC sous Windows, toute application installée est référencée.

1.       Pour cela, allez dans Démarrer > Paramètres > Panneau de configuration.
Dans la fenêtre qui s'ouvre, double-cliquez sur Ajout > Suppression de programmes.
2.       Dans la fenêtre de l'onglet Installation/désinstallation, faites défiler la liste et sélectionnez le programme à désinstaller, puis cliquez sur Ajouter/Supprimer. L'opération se réalise automatiquement.
3.       Il se peut que, malgré la désinstallation, on vous signale que des fichiers dudit programme n'aient pas été supprimés. Il faudra aller les supprimer à la main (un programme est généralement installé dans le dossier Program Files de votre disque dur).
Parfois, une option de désinstallation est prévue par l'application. Il suffit d'aller vérifier dans le menu Démarrer/Programmes.